Passionné de littérature depuis son adolescence, René Raimbau lit les plus grands auteurs (Marcel Proust – Guy de Maupassant – Flaubert – Gide…) avant de se lancer lui-même dans l’écriture. Il publie tout d’abord des poésies dans les cahiers de La Baule (revue littéraire et artistique) et enchaîne avec plusieurs nouvelles éditées dans diverses revues. Encouragé après avoir obtenu un prix Georges Simenon aux Sables d’Olonne, il sort son premier roman La photo dédié à son meilleur ami disparu.
René Raimbau
Bertrand Gilet
Bertrand Gilet, né en 1951 à Nantes, est un ancien journaliste de la presse régionale. Il est l’auteur de cinq autres polars réalistes contemporains ayant pour protagoniste le lieutenant puis capitaine de police Luc Brillant. Il est également l’auteur de Bleu grisaille (recueil de nouvelles ) et de J’aime les Canaris, livre personnel écrit en hommage à son club de football préféré, le FC Nantes. Passionné de littérature notamment policière et de course à pied hors stade, il aime les villes portuaires et les surprises de la vie.
Marcel Cario
D’où vous vient cette envie d’écrire ?
J’ai été ouvrier toute ma vie, principalement aux chantiers navals où j’ai travaillé comme chaudronnier-tuyauteur puis à l’atelier de serrurerie, escaliers et échelles. Au niveau scolaire, j’ai eu mon certificat d’études au bout de la troisième fois. A ma retraite, en 2001, mon fils m’a dit que j’avais le temps et l’imagination pour écrire. J’ai aussi fait pas mal de généalogie ; et j’ai donc commencé par écrire un roman historique qui décrit une famille miséreuse, à partir de la bataille de Solférino en 1875. Il n’a pas encore été édité. Dans la foulée, je me suis lancé dans un polar. Cette histoire de trois braqueurs qui opéraient à Saint-Nazaire dans les Années 60 a retenu l’attention d’un éditeur de La Baule. Le premier tome est sorti au mois de juin et on m’a rapidement demandé une suite, qui est sortie au mois de novembre. Le troisième tome devrait sortir avant l’été. Ce sera le dernier.
Jean-Claude Royère
Jean-Claude ROYERE, né le 30 août 1950 à Périgueux, berceau familial, ville d’Histoire et de gastronomie. Ses parents, commerçants, se sont plus tard installés à Montauban, dans le Quercy où il passera une jeunesse et une adolescence heureuse. Chargé de famille dès 20 ans, il entre alors à l’Ecole Nationale de la Police à Sens en octobre 1970. C’est à Nantes, cité des Ducs, d’Anne de Bretagne et de Jules Verne, qu’il sera affecté le 1er février 1971. Cette ville remarquable le séduira tant sur le plan historique que culturel. Il va y passer pratiquement l’ensemble de sa carrière entrecoupée d’une mutation promotionnelle à Versailles.
Jean-Louis Mace
Jean-Louis Mace. J’ai commencé à écrire il y a une douzaine d’année. A l’époque j’habitais à Fougères et faisait parti d’une association qui s’appelle arts et poésies. Un fois par an il y avait une soirée poésie et chacun peintre ou poète, suivant un thème écrivait ou lisait un texte ou un poème. C’est là j’ai commencé à écrire mon premier texte. Il leur a plu et j’ai continué. Pendant cinq ans je n’ai écrit que des petits textes ou poèmes sous forme humoristique ou sarcastique ou philosophique.